Réunion hebdomadaire coordination anti-répression Paris IDF
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"name": "R\u00c9UNION HEBDOMADAIRE COORDINATION ANTI-R\u00c9PRESSION PARIS IDF" ,
"description": "https:\/\/www.agendamilitant.org\/Reunion-hebdomadaire-coordination-anti-repression-Paris-IDF-3956.html \n\nNous nous r\u00e9unissons tous les mardis de 18h30 \u00e0 21h \u00e0 la Bourse du travail de Paris. Cette r\u00e9union hebdomadaire a pour objectif de renforcer les solidarit\u00e9s et les soutiens contre la r\u00e9pression et les violences, dans les quartiers et les manifs. \n\nBienvenue \u00e0 la coordination contre la r\u00e9pression et les violences polici\u00e8res ! \n\nCoordination contre la r\u00e9pression et les violences polici\u00e8res Paris-IDF \n\nLa r\u00e9pression fait rage et votre rage grandit.\n\nVous voulez savoir qui nous sommes, ce que nous faisons, quand, comment et tant d'autres choses...\n\nLes r\u00e9unions de la coordination sont publiques et ouvertes \u00e0 tou\u00b7te\u00b7s.\n\nToutefois, nous ne voulons \u00eatre ni des sujets d'article ni des sujets de recherche scientifique, c'est pourquoi nous refusons que journalistes, chercheur\u00b7euse\u00b7s, \u00e9tudiant\u00b7e\u00b7s viennent assister aux r\u00e9unions pour leur travail en se pla\u00e7ant de fait hors de l'implication n\u00e9cessaire au fonctionnement de la coordination. \n\nContact de la Legal Team (groupe l\u00e9gal de la coordination) :\n\n- stoprepression(@)riseup.net\n\n- 07.52.95.71.11 pour les urgences \n\nSoutiens financiers :\n\n- Dons en ligne par CB \n\n- Ch\u00e8ques \u00e0 adresser \u00e0 :\n\nSolidarit\u00e9s Collectives, chez Sud PTT\n\n25-27, rue des Envierges, 75020, Paris\n\n- RIB sur demande (par mail) \n\nEn attendant nous vous laissons \u00e0 la lecture de notre texte, histoire afin que vous puissiez vous faire une petite id\u00e9e pour commencer. \n\nQui sommes-nous ? \n\nLa coordination contre la r\u00e9pression et les violences polici\u00e8res s'est cr\u00e9\u00e9e en 2016 au moment du mouvement contre la loi Travail. Cette coordination s'est donn\u00e9 pour but de combattre la r\u00e9pression syst\u00e9matique du gouvernement face aux mobilisations sociales (blocus, manifestations, occupations...).\n\nSi la coordination est n\u00e9e dans le but de soutenir les manifestant.es dans un contexte de mouvement social, elle n'oublie pas que les politiques r\u00e9pressives, les violences polici\u00e8res et judiciaires utilis\u00e9es lors du mouvement contre la loi Travail \u00e9taient \u00e0 l'oeuvre depuis longtemps dans les quartiers populaires et aupr\u00e8s des personnes exil\u00e9es, sans papiers ou migrantes. \n\nAujourd'hui, la coordination soutient l'id\u00e9e que c'est l'ensemble de la r\u00e9pression quotidienne qu'il faut combattre face \u00e0 la multiplication des lois absurdes qui font tomber de plus en plus de comportements dans l'ill\u00e9galit\u00e9. \n\nLa coordination n'est pas un collectif. Elle se veut une articulation de personnes et de groupes qui souhaitent lutter ensemble dans cette perspective.\n\nLa coordination se veut anticapitaliste, antipatriarcale, antiraciste, antiautoritaire, ancr\u00e9e dans la lutte des classes, elle se bat contre toutes formes d'oppressions. \n\nObjectifs \n\nLa r\u00e9pression consiste, entre autres, \u00e0 isoler les personnes r\u00e9prim\u00e9es et judiciaris\u00e9es. La coordination veut briser cet isolement.\n\nDans la mesure o\u00f9 la plupart des comportements deviennent ill\u00e9gaux et que de plus en plus de personnes deviennent « ind\u00e9sirables », la coordination tend \u00e0 construire une cha\u00eene de soutien de l'avant-interpellation jusqu'\u00e0 la sortie de prison le cas \u00e9ch\u00e9ant. Pour cela, elle souhaite b\u00e2tir une d\u00e9fense politique de mani\u00e8re collective afin que la question de la r\u00e9pression et des violences polici\u00e8res devienne l'affaire de tout\u00b7te\u00b7s. \n\nQu'implique une d\u00e9fense politique collective ? \n\nElle se traduit, d'une part, par la solidarit\u00e9 avec les personnes interpell\u00e9es et le refus de les dissocier, de faire un tri entre elles, d'autre part, par l'affirmation de la l\u00e9gitimit\u00e9 de nos luttes dans et hors les tribunaux.\n\nElle suppose : \n\n\u2013 de construire ensemble une r\u00e9ponse large, auto-organis\u00e9e et r\u00e9investie par le plus grand nombre, sans la r\u00e9server aux « experts », militant\u00b7e\u00b7s ou avocat\u00b7e\u00b7s, face \u00e0 une institution judiciaire qui laisse les pr\u00e9venu\u00b7e\u00b7s seul\u00b7e\u00b7s face \u00e0 leurs actes pr\u00e9sum\u00e9s d\u00e9lictuels, priv\u00e9\u00b7e\u00b7s de toute d\u00e9fense commune, concert\u00e9e et politique ; \n\n\u2013 de ne pas choisir entre de suppos\u00e9\u00b7e\u00b7s « bon\u00b7ne\u00b7s » ou « mauvais\u00b7e\u00b7s » pr\u00e9venu\u00b7e\u00b7s : pas de dissociation ; \n\n\u2013 que la d\u00e9fense de l'un\u00b7e ne se construit pas au d\u00e9triment de l'autre : pas de d\u00e9solidarisation, pas de d\u00e9nonciation ; \n\n\u2013 que la d\u00e9fense se pr\u00e9pare dans le respect du\/de la pr\u00e9venu\u00b7e. Lui\u00b7elle, soutenu\u00b7e par d'autres inculp\u00e9\u00b7e\u00b7s, par ses camarades de lutte ou par le collectif de d\u00e9fense juridique s'il y en a un, aura toujours le dernier mot sur la strat\u00e9gie \u00e0 adopter. L'avocat\u00b7e devra adapter ses pratiques \u00e0 la strat\u00e9gie ainsi d\u00e9finie ; \n\n\u2013 que toute personne, ind\u00e9pendamment de ses ressources, puisse avoir le droit \u00e0 la d\u00e9fense politique collective.\n\nPour ce faire, nous relayons et fournissons ainsi les outils utiles \u00e0 cette d\u00e9fense politique collective afin que toute personne ou tout groupe puisse utiliser en totale autonomie les moyens disponibles en r\u00e9gion parisienne.\n\nNotre action est politique. C'est sur ces principes que notre solidarit\u00e9 s'appuie. \n\nQuels sont nos moyens ? \n\n\u2013 Le Groupe L\u00e9gal : il est n\u00e9 fin 2016, de la volont\u00e9 de la Coordination contre la r\u00e9pression et les violences polici\u00e8res de Paris\/IDF, de s'organiser pour ne laisser personne isol\u00e9\u00b7e face \u00e0 la police et la justice - en manifs, lors d'actions de blocage ou d'occupation, dans les quartiers populaires comme en soutien aux personnes exil\u00e9es, sans-papiers ou migrantes. \n\n\u2013 Un collectif d'avocat\u00b7e\u00b7s permettant que chaque interpell\u00e9\u00b7e puisse avoir acc\u00e8s \u00e0 une m\u00eame d\u00e9fense, quelles que soient ses ressources. \n\n\u2013 Une caisse de solidarit\u00e9 qui prend en charge les frais de ces avocat\u00b7e\u00b7s. Cette caisse est aliment\u00e9e par des dons personnels et par des actions ou des f\u00eates de soutien organis\u00e9es par des personnes, des groupes, des collectifs ou par la coordination. Les personnes d\u00e9fendues y participent, si elles le peuvent, \u00e0 hauteur de leurs moyens ou en fonction de ce qu'elles peuvent apporter au collectif. \n\n\u2013 Les brochures « Sortez couvert\u00b7e\u00b7s » : en plusieurs langues, versions courte et longue, ces flyers regroupent des astuces, infos et conseils autour de la r\u00e9pression, de l'avant-manif au passage devant le\u00b7la juge. \n\n\u2013 Les petits carr\u00e9s avec des noms du collectif d'avocat\u00b7e\u00b7s \u00e0 distribuer lors des manifestations. \n\nTous les conseils et ressources juridiques se trouvent sur le site du RAJCOL, R\u00e9seau d'autod\u00e9fense juridique collective o\u00f9 l'on peut aussi contacter des groupes de soutien dans d'autres villes et t\u00e9l\u00e9charger des guides et des outils juridiques (onglet mat\u00e9riaux \u00e0 diffuser). \n\nT\u00e9moin d'une interpellation en manifestation ou action ? Appellez la Legal Team Paris-\u00cele-de-France 07.52.95.71.11, mail : stoprepression@riseup.net \n\nSuivi et infos ici \n\nMais notre nombre et notre d\u00e9termination sont aussi nos moyens de d\u00e9fense collective. Nos besoins sont importants tant au niveau financier qu'humain. Plus nous serons nombreux\u00b7ses \u00e0 nous engager plus nous pourrons faire tout ce qui nous para\u00eet essentiel pour rendre efficace et offensive notre d\u00e9fense collective : \n\n\u2013 participer activement \u00e0 la gestion des dossiers de d\u00e9fense avec les avocat\u00b7e\u00b7s ; \n\n\u2013 organiser des ateliers de formation avant les manifs pour diffuser le plus largement possible les r\u00e9flexes, comportements et moyens d'autod\u00e9fense ; \n\n\u2013 constituer des r\u00e9unions apr\u00e8s manifs pour mettre en \u0153uvre des actions de soutien devant les commissariats ; \n\n\u2013 assister aux audiences afin de soutenir les pr\u00e9venu\u00b7e\u00b7s au moment de leur jugement, mais aussi \u00e0 leur sortie du tribunal ; \n\n\u2013 maintenir le lien entre les personnes incarc\u00e9r\u00e9\u00b7e\u00b7s et l'ext\u00e9rieur via des lettres, des visites, des manifestations diverses ; \n\n\u2013 organiser des moments de discussion et de d\u00e9bat autour de la notion de d\u00e9fense collective. \n\nC'est ensemble, nombreux\u00b7ses et d\u00e9termin\u00e9\u00b7e\u00b7s, que nous pourrons gagner. 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Thèmes :
Surveillance, répression, libertés, technopolice
Type d'événement :
Réunion publique
Quand ?
Le 5 novembre de 18h30 à 21h,
Où ?
Bourse du Travail (Château d’Eau)
3 rue du Château d'Eau, 75010, Paris, France
Autres jours :
Le 12 novembre de 18h30 à 21h,
Le 19 novembre de 18h30 à 21h,
Le 26 novembre de 18h30 à 21h,
Le 3 décembre de 18h30 à 21h,
Le 10 décembre de 18h30 à 21h,
Le 17 décembre de 18h30 à 21h,
Le 24 décembre de 18h30 à 21h,
Le 31 décembre de 18h30 à 21h,
Le 7 janvier 2025 de 18h30 à 21h,
Le 14 janvier 2025 de 18h30 à 21h,
Le 21 janvier 2025 de 18h30 à 21h,
Le 28 janvier 2025 de 18h30 à 21h,
Le 4 février 2025 de 18h30 à 21h,
Le 11 février 2025 de 18h30 à 21h,
Le 18 février 2025 de 18h30 à 21h,
Le 25 février 2025 de 18h30 à 21h,
Le 4 mars 2025 de 18h30 à 21h,
Le 11 mars 2025 de 18h30 à 21h,
Le 18 mars 2025 de 18h30 à 21h,
Le 25 mars 2025 de 18h30 à 21h,
Nous nous réunissons tous les mardis de 18h30 à 21h à la Bourse du travail de Paris. Cette réunion hebdomadaire a pour objectif de renforcer les solidarités et les soutiens contre la répression et les violences, dans les quartiers et les manifs.
Bienvenue à la coordination contre la répression et les violences policières !
Coordination contre la répression et les violences policières Paris-IDF
La répression fait rage et votre rage grandit.
Vous voulez savoir qui nous sommes, ce que nous faisons, quand, comment et tant d’autres choses...
Les réunions de la coordination sont publiques et ouvertes à tou·te·s.
Toutefois, nous ne voulons être ni des sujets d’article ni des sujets de recherche scientifique, c’est pourquoi nous refusons que journalistes, chercheur·euse·s, étudiant·e·s viennent assister aux réunions pour leur travail en se plaçant de fait hors de l’implication nécessaire au fonctionnement de la coordination.
Contact de la Legal Team (groupe légal de la coordination) :
- stoprepression(@)riseup.net
- 07.52.95.71.11 pour les urgences
Soutiens financiers :
- Dons en ligne par CB
- Chèques à adresser à :
Solidarités Collectives, chez Sud PTT
25-27, rue des Envierges, 75020, Paris
- RIB sur demande (par mail)
En attendant nous vous laissons à la lecture de notre texte, histoire afin que vous puissiez vous faire une petite idée pour commencer.
Qui sommes-nous ?
La coordination contre la répression et les violences policières s’est créée en 2016 au moment du mouvement contre la loi Travail. Cette coordination s’est donné pour but de combattre la répression systématique du gouvernement face aux mobilisations sociales (blocus, manifestations, occupations...).
Si la coordination est née dans le but de soutenir les manifestant.es dans un contexte de mouvement social, elle n’oublie pas que les politiques répressives, les violences policières et judiciaires utilisées lors du mouvement contre la loi Travail étaient à l’oeuvre depuis longtemps dans les quartiers populaires et auprès des personnes exilées, sans papiers ou migrantes.
Aujourd’hui, la coordination soutient l’idée que c’est l’ensemble de la répression quotidienne qu’il faut combattre face à la multiplication des lois absurdes qui font tomber de plus en plus de comportements dans l’illégalité.
La coordination n’est pas un collectif. Elle se veut une articulation de personnes et de groupes qui souhaitent lutter ensemble dans cette perspective.
La coordination se veut anticapitaliste, antipatriarcale, antiraciste, antiautoritaire, ancrée dans la lutte des classes, elle se bat contre toutes formes d’oppressions.
Objectifs
La répression consiste, entre autres, à isoler les personnes réprimées et judiciarisées. La coordination veut briser cet isolement.
Dans la mesure où la plupart des comportements deviennent illégaux et que de plus en plus de personnes deviennent « indésirables », la coordination tend à construire une chaîne de soutien de l’avant-interpellation jusqu’à la sortie de prison le cas échéant. Pour cela, elle souhaite bâtir une défense politique de manière collective afin que la question de la répression et des violences policières devienne l’affaire de tout·te·s.
Qu’implique une défense politique collective ?
Elle se traduit, d’une part, par la solidarité avec les personnes interpellées et le refus de les dissocier, de faire un tri entre elles, d’autre part, par l’affirmation de la légitimité de nos luttes dans et hors les tribunaux.
Elle suppose :
– de construire ensemble une réponse large, auto-organisée et réinvestie par le plus grand nombre, sans la réserver aux « experts », militant·e·s ou avocat·e·s, face à une institution judiciaire qui laisse les prévenu·e·s seul·e·s face à leurs actes présumés délictuels, privé·e·s de toute défense commune, concertée et politique ;
– de ne pas choisir entre de supposé·e·s « bon·ne·s » ou « mauvais·e·s » prévenu·e·s : pas de dissociation ;
– que la défense de l’un·e ne se construit pas au détriment de l’autre : pas de désolidarisation, pas de dénonciation ;
– que la défense se prépare dans le respect du/de la prévenu·e. Lui·elle, soutenu·e par d’autres inculpé·e·s, par ses camarades de lutte ou par le collectif de défense juridique s’il y en a un, aura toujours le dernier mot sur la stratégie à adopter. L’avocat·e devra adapter ses pratiques à la stratégie ainsi définie ;
– que toute personne, indépendamment de ses ressources, puisse avoir le droit à la défense politique collective.
Pour ce faire, nous relayons et fournissons ainsi les outils utiles à cette défense politique collective afin que toute personne ou tout groupe puisse utiliser en totale autonomie les moyens disponibles en région parisienne.
Notre action est politique. C’est sur ces principes que notre solidarité s’appuie.
Quels sont nos moyens ?
– Le Groupe Légal : il est né fin 2016, de la volonté de la Coordination contre la répression et les violences policières de Paris/IDF, de s’organiser pour ne laisser personne isolé·e face à la police et la justice - en manifs, lors d’actions de blocage ou d’occupation, dans les quartiers populaires comme en soutien aux personnes exilées, sans-papiers ou migrantes.
– Un collectif d’avocat·e·s permettant que chaque interpellé·e puisse avoir accès à une même défense, quelles que soient ses ressources.
– Une caisse de solidarité qui prend en charge les frais de ces avocat·e·s. Cette caisse est alimentée par des dons personnels et par des actions ou des fêtes de soutien organisées par des personnes, des groupes, des collectifs ou par la coordination. Les personnes défendues y participent, si elles le peuvent, à hauteur de leurs moyens ou en fonction de ce qu’elles peuvent apporter au collectif.
– Les brochures « Sortez couvert·e·s » : en plusieurs langues, versions courte et longue, ces flyers regroupent des astuces, infos et conseils autour de la répression, de l’avant-manif au passage devant le·la juge.
– Les petits carrés avec des noms du collectif d’avocat·e·s à distribuer lors des manifestations.
Tous les conseils et ressources juridiques se trouvent sur le site du RAJCOL, Réseau d’autodéfense juridique collective où l’on peut aussi contacter des groupes de soutien dans d’autres villes et télécharger des guides et des outils juridiques (onglet matériaux à diffuser).
Témoin d’une interpellation en manifestation ou action ? Appellez la Legal Team Paris-Île-de-France 07.52.95.71.11, mail : stoprepression@riseup.net
Suivi et infos ici
Mais notre nombre et notre détermination sont aussi nos moyens de défense collective. Nos besoins sont importants tant au niveau financier qu’humain. Plus nous serons nombreux·ses à nous engager plus nous pourrons faire tout ce qui nous paraît essentiel pour rendre efficace et offensive notre défense collective :
– participer activement à la gestion des dossiers de défense avec les avocat·e·s ;
– organiser des ateliers de formation avant les manifs pour diffuser le plus largement possible les réflexes, comportements et moyens d’autodéfense ;
– constituer des réunions après manifs pour mettre en œuvre des actions de soutien devant les commissariats ;
– assister aux audiences afin de soutenir les prévenu·e·s au moment de leur jugement, mais aussi à leur sortie du tribunal ;
– maintenir le lien entre les personnes incarcéré·e·s et l’extérieur via des lettres, des visites, des manifestations diverses ;
– organiser des moments de discussion et de débat autour de la notion de défense collective.
C’est ensemble, nombreux·ses et déterminé·e·s, que nous pourrons gagner.