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Journée sur les violences policières en Grèce (discussions, projections, rebetiko jam)

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Thèmes :
Autre

Type d'événement :
Fêtes

Quand ?

Cet événement est passé
Samedi 7 décembre à 13h00,

Où ?
La Kunda
46 Rue Jules Lagaisse, 94400, Vitry-sur-Seine, France

Le samedi 7 décembre, on se retrouve à la Kunda pour une journée sur les violences policières en Grèce.
En hommage à l’insurrection de 2008.
En mémoire d’Alexis Grigoropoulos et toutes les victimes de la violence policière et d’Etat.

Cette année, c’est le 16e "anniversaire" du meurtre d’Alexis Grigoropoulos, 15 ans, par un flic, Epameinonda Korkoneas. Un événement tragique qui a marqué le début d’une insurrection, d’une révolte générale, non seulement contre les violences policières, mais aussi contre un système répressif qui s’impose de plus en plus dans la société contemporaine. Le 6 décembre est certes, d’un côté, une date de commémoration, mais c’est aussi une date qui nous rappelle la longue résistance contre l’autoritarisme et l’injustice sociale.

Cet événement, que nous organisons le 7 décembre 2024, rend hommage à la mémoire d’Alexis et vise à ouvrir une discussion autour des violences policères, autant en Grèce, qu’en France. À travers des discussions et des projections de films, on aimerait décortiquer les diverses facettes de la répression, leur connection avec la violence d’État, le racisme et les discriminations sociales. Avec la projection du documentaire "Violences policières et trauma psychique", sous-titré en français.

Pour le côté festif, un jam de rebetiko pour clore symboliquement cet événement et une cantine grecque ! Venez nombreuxses et ramenez vos instruments pour jouer toustes ensemble !

Ces événements se veulent une invitation ouverte de rencontre politique à toustes celleux qui résistent et qui luttent contre la répression. Les violences policières sont la forme la plus crue que l’État utilise pour nous terroriser, et la résistance collective est notre solution.

Contre les violences policères, contre la répression d’État, 6 décembre 2008, on n’oublie pas, on ne pardonne pas.

Libération immédiate du camarade Nikos Romanos.

— L’initiative grecque, collectif autogéré de migrannt.es grec.ques à Paris