« Dévorer le monde : Voyage, capitalisme et domination, d’Aude Vidal - Rencontre-Débat en présence de l’autrice
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"name": "« D\u00e9vorer le monde : Voyage, capitalisme et domination, d\u2019Aude Vidal - Rencontre-D\u00e9bat en pr\u00e9sence de l\u2019autrice" ,
"description": "https:\/\/www.agendamilitant.org\/Devorer-le-monde-Voyage-capitalisme-et-domination-d-Aude-Vidal-Rencontre-Debat.html \n\n\u00c0 l'heure o\u00f9 les d\u00e9placements contrari\u00e9s (guerres, \u00e9pid\u00e9mies), les r\u00e9alit\u00e9s \u00e9conomiques et les d\u00e9sastres environnementaux nous obligent \u00e0 reconsid\u00e9rer nos mani\u00e8res de voyager, Aude Vidal pointe notre grande ambivalence \u00e0 ce sujet et les d\u00e9g\u00e2ts \u00e9cologiques, culturels et sociaux que nous causons, \u00e0 l'\u00e9tranger comme en France, quand nous satisfaisons notre « besoin d'ailleurs ». \n\nSi penser le tourisme et le voyage modernes c'est penser une « \u00e9conomie du surplus » qui privil\u00e9gie les d\u00e9sirs des uns aux d\u00e9pens des besoins des autres, c'est aussi s'attaquer aux in\u00e9galit\u00e9s qui minent nos soci\u00e9t\u00e9s et \u00e0 celles qui continuent de cro\u00eetre entre les soci\u00e9t\u00e9s. Voir aussi Librairie Publico " ,
"label": "Ajouter à mon calendrier",
"location": "Librairie Le Monde libertaire - Publico 145 Rue Amelot 75011 Paris " ,
"startDate":"2024-10-10",
"startTime":"19:00",
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Thèmes :
Lutte des migrant·es et sans-papiers, antiracisme politique, décolonisation
Éducation populaire
Lutte pour la protection de l’environnement, écologie
Lutte des classes, travail et internationalisme
Type d'événement :
Réunion publique
Quand ?
Le 10 octobre de 19h à 21h,
Où ?
Librairie Le Monde libertaire - Publico
145 Rue Amelot 75011 Paris
#tourisme
À l’heure où les déplacements contrariés (guerres, épidémies), les réalités économiques et les désastres environnementaux nous obligent à reconsidérer nos manières de voyager, Aude Vidal pointe notre grande ambivalence à ce sujet et les dégâts écologiques, culturels et sociaux que nous causons, à l’étranger comme en France, quand nous satisfaisons notre « besoin d’ailleurs ».
Si penser le tourisme et le voyage modernes c’est penser une « économie du surplus » qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres, c’est aussi s’attaquer aux inégalités qui minent nos sociétés et à celles qui continuent de croître entre les sociétés.