Ciné Envie d’agir - Projection : "IVG, Histoire(s) de combattantes"
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"name": "Cin\u00e9 Envie d\u2019agir - Projection : \"IVG, Histoire(s) de combattantes\"" ,
"description": "https:\/\/www.agendamilitant.org\/Cine-Envie-d-agir-Projection-IVG-Histoire-s-de-combattantes-6020.html \n\nLe principe des Cin\u00e9s Envie d'agir ? La projection d'un film suivie d'une discussion avec des associations, pour en savoir plus sur la th\u00e9matique et sur les fa\u00e7ons de s'engager. \n\nNotre 2e Cin\u00e9 Envie d'agir aura lieu en pr\u00e9sence de la cor\u00e9alisatrice Charl\u00e8ne De Vargas et des membres de l'association ADSF - Agir pour la Sant\u00e9 des Femmes et du Planning familial. \n\n\"IVG, Histoire(s) de combattantes\" - film documentaire de Jennifer Aranda Walker et Charl\u00e8ne De Vargas \n\n\"8 mars 2024 : la France inscrit dans sa constitution la libert\u00e9 des femmes \u00e0 avorter. Notre pays serait devenu l'exemple \u00e0 suivre en ce qui concerne les femmes \u00e0 disposer de leur corps. \n\nAlors, pourquoi, en 12 ans, le nombre de centres IVG a-t-il baiss\u00e9 de 40% ? Et pourquoi, en ville, seulement 3% de g\u00e9n\u00e9ralistes et de gyn\u00e9cologues r\u00e9alisent des IVG ? Pourquoi se sent-on toujours honteuse, fautive, alors que 72% des femmes qui avortent sont sous contraception ? Et pourquoi nous a-t-il fallu un film pour que nos amis, nos m\u00e8res m\u00eame nous parlent de leur IVG ? \n\nNous avons enqu\u00eat\u00e9, \u00e9cout\u00e9, suivi celles et ceux qui, tous les jours, s'engagent et \u0153uvrent pour maintenir l'acc\u00e8s \u00e0 l'IVG sur notre territoire. Nous avons \u00e9cout\u00e9 les militantes historiques du MLAC (Mouvement de Lib\u00e9ration pour l'Avortement et la Contraception), celles qui, aux c\u00f4t\u00e9s de Simone Veil, ont rendu possible la l\u00e9galisation de l'avortement en 1974. Et puis nous avons \u00e9cout\u00e9 celles qui ont avort\u00e9 au cours de leur vie. Pas difficile de les trouver. 1 femme sur 3 avortera au cours de sa vie en France. \n\nAcc\u00e8s in\u00e9gal et manque de moyens ; double clause de conscience brandie par les m\u00e9decins pour refuser de pratiquer l'IVG, en particulier apr\u00e8s 12 semaines de grossesse ; m\u00e9thode m\u00e9dicamenteuse de plus en plus impos\u00e9e aux femmes, les laissant avorter seules chez elles par voie basse\u2026 50 apr\u00e8s la loi Veil, l'IVG reste toujours un soin m\u00e9dical \u00e0 part. Un droit o\u00f9 s'impose le plus souvent la loi du silence. \n\nO\u00f9 est donc la parole de celles qui ne regrettent pas mais qui vivent dans leur corps et dans leurs \u00e9motions une exp\u00e9rience rendue d'autant plus difficile par la culpabilit\u00e9 et la honte ? \n\nIl est temps pour les militantes historiques des ann\u00e9es 70 de passer le flambeau \u00e0 leurs petites-filles militantes d'aujourd'hui. \"IVG, histoire(s) de combattantes\" est un film d'enqu\u00eate qui m\u00eale l'intime et le politique pour d\u00e9masquer les barri\u00e8res encore bien pr\u00e9sentes en France en 2024 pour avoir acc\u00e8s \u00e0 l'IVG, sans d\u00e9lai, sans jugement et sans douleur.\" \n\nAst\u00e9rya : \n\nL'association Ast\u00e9rya a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e pour encourager, faciliter et accompagner l'engagement citoyen sous toutes ses formes : b\u00e9n\u00e9volat, engagement dans des coop\u00e9ratives, des initiatives de quartier, des collectifs informels, ou encore des formes d'interpellation (boycott, p\u00e9titions) et de participation (conseils de quartier, etc.) pour une soci\u00e9t\u00e9 plus solidaire, plus \u00e9cologique et plus d\u00e9mocratique. A travers ses actions, Ast\u00e9rya vise \u00e0 donner \u00e0 chacun\u00b7e la capacit\u00e9 d'\u00eatre acteur\u00b7rice, de retrouver un pouvoir d'agir, d'acqu\u00e9rir un regard critique et d'influer sur son environnement pour changer la soci\u00e9t\u00e9. " ,
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"location": "Le Bar Commun 35 Rue des Poissonniers, 75018, Paris, France " ,
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Thèmes :
Lutte des classes, travail et internationalisme
Lutte contre le patriarcat, féminismes
Éducation populaire
Type d'événement :
Réunion publique
Quand ?
Le 19 mars de 19h à 22h,
Où ?
Le Bar Commun
35 Rue des Poissonniers, 75018, Paris, France
Le principe des Cinés Envie d’agir ? La projection d’un film suivie d’une discussion avec des associations, pour en savoir plus sur la thématique et sur les façons de s’engager.
Notre 2e Ciné Envie d’agir aura lieu en présence de la coréalisatrice Charlène De Vargas et des membres de l’association ADSF - Agir pour la Santé des Femmes et du Planning familial.
"IVG, Histoire(s) de combattantes" - film documentaire de Jennifer Aranda Walker et Charlène De Vargas
"8 mars 2024 : la France inscrit dans sa constitution la liberté des femmes à avorter. Notre pays serait devenu l’exemple à suivre en ce qui concerne les femmes à disposer de leur corps.
Alors, pourquoi, en 12 ans, le nombre de centres IVG a-t-il baissé de 40% ? Et pourquoi, en ville, seulement 3% de généralistes et de gynécologues réalisent des IVG ? Pourquoi se sent-on toujours honteuse, fautive, alors que 72% des femmes qui avortent sont sous contraception ? Et pourquoi nous a-t-il fallu un film pour que nos amis, nos mères même nous parlent de leur IVG ?
Nous avons enquêté, écouté, suivi celles et ceux qui, tous les jours, s’engagent et œuvrent pour maintenir l’accès à l’IVG sur notre territoire. Nous avons écouté les militantes historiques du MLAC (Mouvement de Libération pour l’Avortement et la Contraception), celles qui, aux côtés de Simone Veil, ont rendu possible la légalisation de l’avortement en 1974. Et puis nous avons écouté celles qui ont avorté au cours de leur vie. Pas difficile de les trouver. 1 femme sur 3 avortera au cours de sa vie en France.
Accès inégal et manque de moyens ; double clause de conscience brandie par les médecins pour refuser de pratiquer l’IVG, en particulier après 12 semaines de grossesse ; méthode médicamenteuse de plus en plus imposée aux femmes, les laissant avorter seules chez elles par voie basse… 50 après la loi Veil, l’IVG reste toujours un soin médical à part. Un droit où s’impose le plus souvent la loi du silence.
Où est donc la parole de celles qui ne regrettent pas mais qui vivent dans leur corps et dans leurs émotions une expérience rendue d’autant plus difficile par la culpabilité et la honte ?
Il est temps pour les militantes historiques des années 70 de passer le flambeau à leurs petites-filles militantes d’aujourd’hui. "IVG, histoire(s) de combattantes" est un film d’enquête qui mêle l’intime et le politique pour démasquer les barrières encore bien présentes en France en 2024 pour avoir accès à l’IVG, sans délai, sans jugement et sans douleur."
Astérya :
L’association Astérya a été créée pour encourager, faciliter et accompagner l’engagement citoyen sous toutes ses formes : bénévolat, engagement dans des coopératives, des initiatives de quartier, des collectifs informels, ou encore des formes d’interpellation (boycott, pétitions) et de participation (conseils de quartier, etc.) pour une société plus solidaire, plus écologique et plus démocratique. A travers ses actions, Astérya vise à donner à chacun·e la capacité d’être acteur·rice, de retrouver un pouvoir d’agir, d’acquérir un regard critique et d’influer sur son environnement pour changer la société.